Le Département des littératures de langue française fait parler de lui en cette rentrée littéraire.
La professeure Catherine Mavrikakis publie L’annexe. On a pu l’entendre à l’émission de radio Plus on est de fous, plus ont lit ! Il a été question de son roman dans La Presse+ (ici et là), dans Le Devoir, dans Châtelaine, etc.
L’Écorchée vive, de la professeure Claire Legendre, est de nouveau disponible chez Grasset. Son livre Le nénuphar et l’araignée a été traduit en espagnol.
Citons Le Devoir : «En matière de noms de personnages, on ne fera pas plus suave cet automne que Ti-Best, sobriquet du protagoniste de Les limbes (Les Herbes rouges, 4 septembre), sixième roman de Jean-Simon DesRochers», professeur au département.
Le professeur émérite Pierre Nepveu lance un nouveau recueil de poésie, L’espace caressé par ta voix.
La diplômée Fanie Demeule codirige avec Joyce Baker le collectif Stalkeuses.
La doctorante Marie Demers dirige le collectif Folles frues fortes aux Éditions Tête première. (On y trouve des textes de Fanie Demeule et de Catherine Mavrikakis.) Elle publie aussi le roman Leslie et Coco chez Hurtubise.
D’abord paru à Montréal sous le titre Querelle de Roberval, le roman du doctorant Kevin Lambert paraît à Paris sous le titre Querelle. Il est en lice pour le prix littéraire du Monde et pour le prix Sade.
Le portrait, pourtant riche, n’est pas complet.
Bonnes lectures !
Benoît Melançon est professeur titulaire au Département des littératures de langue française de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal.
Il fera paraître cet automne un essai intitulé Nos Lumières. Miscellanées dix-huitiémistes.
Portrait de Benoît Melançon par Andrew Dobrowolskyj (Université de Montréal)
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