Pour un francophone, il est probablement plus facile de lutter contre l’essentialisme linguistique que contre une maladie répandue, mais peu douloureuse, qui affecte sa communauté. Cette maladie a été décrite par Jean-Marie Klinkenberg dans le premier chapitre de son ouvrage La langue et le citoyen (2001) : « Un francophone, c’est d’abord un [...]