Dans « Lettre à un étudiant », une chronique qu’il a fait paraître en 2000, Michel Biron tentait de tirer quelques conclusions provisoires de ses lectures des romans contemporains (Voix et images, XXV, 3, p. 582-587). Plutôt pessimiste, il y affirmait notamment
[qu’]écrire en 1965, c’était écrire dans la collectivité, en consonance avec l’en [...]